1 2
Pour accéder à votre Atelier ou vous abonner à l'un d'eux, merci de donner vos codes d'accès. Si vous ne les avez pas, cliquez ci-dessous ou ci-contre.
[S'INSCRIRE pour obtenir vos codes d'accès] [Changer de mot de passe ]
A l’occasion de la manifestation Cyclab organisée le 4 février dernier à Bordeaux, Philippe Starck en échange avec Alain Juppé évoque la nécessaire question des usages pour penser le futur du vélo :
Retraçant l’échelle des mobilités de 0m à l’infini ; il évoque les objets associés… de la « pantoufle » à la sonde galactique, en passant par le roller, le vélo, l’auto…
Dommage qu’il n’est pas mis davantage en corrélation une autre échelle : celle des modalités de travail à travers les époques - dont le télétravail d’aujourd’hui - pour établir un relation structurante des usages [2].
En résumé, si, dans une société numérique, les usages sont le point d’entrée : quels usages de mobilité avoir, dans une pratique du travail à distance ou du travail nomade ?
Voici un nouvel horizon de réflexion pour les urbanistes, acteurs de la mobilité et de l’aménagement des territoires souvent tentés d’appliquer leurs technicités de référence alors même que le monde ne peut plus se définir « toutes choses égales par ailleurs ».
Propos à rapprocher d’un article fort intéressant du Monde du 6/02/2001 intitulé « les automobilistes vont configurer leurs voitures en fonction de leurs besoins ». Anne Asensio, Design Experience chez Dassault système, suggère quelques pistes :
Le vélo du futur s’il devait être un instrument de mobilité pour les Télétravailleurs ou Travailleurs Nomades, ne serait plus alors seulement assis, couché, pliant, ou designé… mais conjointement modulable, personnalisable, customisable, co-produit en crowdsourcing en s’appuyant sur l’internet, la 3D ou la virtualisation et en s’interfaçant avec ces nouvelles pratiques du travail résultant de notre société numérique.