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Lancée par Seine et Marne développement, l’étude de marché sur les Télécentres suggère quelques repères à débattre :
- Discours sur le retard peut conduire effectivement à faire abstraction de la définition inscrite dans l’accord ANI sur le télétravail en élargissant la réalité du sujet à la terminologie « Travail à distance » concernant : les télétravailleurs statutaires ‐ les salariés mobiles ou itinérants ‐ les télétravailleurs gris ‐ les indépendants sans bureau fixe.
- Que le travail chez soi reste important est une confirmation qui aurait mérité une investigation plus précise sur les motivations ou les contraintes y conduisant.
- Attention à ne pas considérer que le travail à distance est important quant on le situe comme "au moins une fois par semaine en dehors du bureau ! Habituellement on parle plutôt de 2 à 3 jours par semaine… ce que font en cumulé de temps nombre de nomades.
- L’analyse du marché des télécentres cible assez normalement sur la question de l’offre de locaux par rapport à une demande assez peu structurée « l’absence d’une offre en Ile-de-France ne permet pas aux salariés d’imaginer une telle façon de travailler ».
- Pour le moins on ne peut sans précisions du « qui, quoi, comment », affirmer l’expression « intéressés par des places en télécentre » ! Cf la question de la méthode ci-dessus ; la réponse dépendant fortement par ex du qui est interviewé entre le DRH, le DD ou le Dir Immobilier… et le manager opérationnel de proximité.
- Il faudrait aussi mieux situer les incidences locales de l’implantation d’un télécentre (incidence sur écoles, commerces, vie sociale locale…).
- Et bien sûr les modalités financières avec rapport qualité / prix et retour sur investissement pour la collectivité locale éventuellement contributrice.
- Dans les transparents de la synthèse se sont probablement les visuels présentant le terme « éventuellement » qui sont le plus révélateur de la fragilité / fugacité du sujet… ce qui confirme le propos : « Pour 89% des emloyeurs, l’utilisation à terme des télécentres reste toutefois conditionnée à d’autres facteurs ». Sur ce point, il est classique que dominent les interrogations sur : réduction des coûts immobiliers et garanties sur la confidentialité…
Quelques suggestions en compléments :